Le mardi 25 novembre restera pour nous une grande étape de notre aventure australienne. Après une première tentative la veille après-midi que nous avons du abandonnée car l’endroit été bondé, nous sommes parti tôt le matin avec Camille et Martial pour le bureau de l’immigration. On a un peu pressé nos nouveaux amis car on avait très envie de récupérer notre visa !
Finalement ca ne nous aura pas pris plus d’un quart d’heure et nous voilà donc les fiers détenteurs d’un beau visa 457 nous permettant de rester légalement dans le pays, d’y bosser et d’en sortir et rerentrer autant de fois que l’on veux. Si ma mémoire est bonne, j’ai du envoyer le premier mail pour initier ma demande de transfert vers le 20 juillet… 4 mois après nous y sommes avec le précieux sésame :D
Finalement ca ne nous aura pas pris plus d’un quart d’heure et nous voilà donc les fiers détenteurs d’un beau visa 457 nous permettant de rester légalement dans le pays, d’y bosser et d’en sortir et rerentrer autant de fois que l’on veux. Si ma mémoire est bonne, j’ai du envoyer le premier mail pour initier ma demande de transfert vers le 20 juillet… 4 mois après nous y sommes avec le précieux sésame :D
Les Fraussies ont leur visa !
On passe ensuite dans les supers bureaux d’Accenture dans la tour du 360 Elizabeth Street (regardez sur Google Map, on la voit très bien). On profite des ordinateurs pour imprimer quelques documents et du fax pour faire une demande de virement de mon compte français vers l’australien. La Société Générale, sera-t-elle réactive… petite angoisse car sans argent, pas de possibilité de payer la caution d’un appart !
Après tant d’émotion, on veut continuer sur le même rythme et nous sommes finalement passés déposer un dossier pour l’appartement de Bourke Street, en se disant que c’est le meilleur de tous ceux que nous avons visité. L’heure du déjeuner approchant, on s’arrête dans un petit restaurant sur Swanston Street et alors qu’on terminait notre repas, je reçois un appel : l’appart est à nous ! On n’y revient pas tellement ça a été rapide. On est super heureux et en même temps on sait maintenant que tout dépend de la réactivité de la Société Générale car on doit signer vendredi.
L’après-midi ne faisant que commencer, on se lance dans une recherche de seringues pour que Klara puisse poursuivre son traitement de désensibilisation allergique que Camille a gentillement accepté de lui injecter tous les mois (Camille est infirmière). On a donc fait la tournée des pharmacies, récoltant parfois des regards circonspects mais le commerçant australien restant fidèle à l’idée que nous nous en faisons pour l’instant, on a toujours cherché à nous aider. On fini donc à la pharmacie du Royal Melbourne Hospital, après avoir remonté tout Swanston, artère principale de la ville, du sud jusqu’au nord. On a un stock pour dix mois de seringue. Ca aussi, c’est fait !
Après tant d’émotion, on veut continuer sur le même rythme et nous sommes finalement passés déposer un dossier pour l’appartement de Bourke Street, en se disant que c’est le meilleur de tous ceux que nous avons visité. L’heure du déjeuner approchant, on s’arrête dans un petit restaurant sur Swanston Street et alors qu’on terminait notre repas, je reçois un appel : l’appart est à nous ! On n’y revient pas tellement ça a été rapide. On est super heureux et en même temps on sait maintenant que tout dépend de la réactivité de la Société Générale car on doit signer vendredi.
L’après-midi ne faisant que commencer, on se lance dans une recherche de seringues pour que Klara puisse poursuivre son traitement de désensibilisation allergique que Camille a gentillement accepté de lui injecter tous les mois (Camille est infirmière). On a donc fait la tournée des pharmacies, récoltant parfois des regards circonspects mais le commerçant australien restant fidèle à l’idée que nous nous en faisons pour l’instant, on a toujours cherché à nous aider. On fini donc à la pharmacie du Royal Melbourne Hospital, après avoir remonté tout Swanston, artère principale de la ville, du sud jusqu’au nord. On a un stock pour dix mois de seringue. Ca aussi, c’est fait !
Une toute petite partie du Botanic Garden
Pour finir la journée, on se pose dans le Botanic Garden à côté de l’hôtel et là on a l’impression de ne plus être en ville du tout, vrai havre de paix ou les bancs ne sont pas dans les allées mais au milieu des espaces verts, les animaux se baladent tranquillement. Une famille arrive sur les coups de 18 heures et le père joue avec ses enfants, peut être après sa journée de boulot, pendant que sa femme profite du soleil. Là on se dit qu’on a très envie de ce rythme de vie australien.
1 commentaire:
Super ça fait plaisir d'avoir des nouvelles, quand est-ce que vous aurez le net chez vous?
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