Le 1er avril matin, j'étais prêt à aller courir quand mes parents m'ont appelé pour m'annoncer la mort de mon petit frère, subite et brutale dans le salon de notre maison familiale... La douleur était si forte... sonné et abasourdi, une partie de moi, une si grande partie de moi, de mon enfance, de ma vie, était morte.
Mes parents, Melissa sa compagne, ma famille et moi avons reçu un soutien inespéré de nos proches mais cette terrible et si injuste disparition n'est pas quelque chose dont on se relève facilement et le deuil sera long pour nous tous.
Florian avait 28 ans, la vie devant lui et des projets avec la personne qu'il aimait. Moi j'avais tellement
hâte de lui présenter notre deuxième enfant, de le retrouver et le serrer dans mes bras. C'était mon petit frère, mon frèro que j'aimais tant et qui nous aimait tellement en retour. Une personne formidable qui nous laisse de si beaux souvenirs et une si cruelle abscene.
L'étourdissement par la violence de cette nouvelle est passée et il faut maintenant apprendre à vivre avec cette absence, ce vide, cette douleur sans jamais oublier la personne magnifique qu'il était, en affrontant de nombreux hauts et bas...
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